
Édouard Capron, vigneron au domaine Saint-Expédit situé au sud de Rouen, incarne la nouvelle vague de viticulteurs normands. Depuis sept ans, il exploite deux hectares de coteaux de la vallée de la Seine, où il cultive du pinot gris, du chenin, et récemment du pinot meunier.
Sa vocation est née de son amour du vin, initialement dans la commercialisation et l’exportation. « Je souhaitais depuis longtemps passer de l’autre côté et m’investir dans la viticulture, d’autant plus que la Normandie offrait une page blanche à écrire. C’était l’opportunité d’explorer un potentiel encore méconnu. »
Aujourd’hui, Édouard n’est pas seul dans cette aventure. Avec près de 60 vignerons normands réunis dans l’association des vignerons de Normandie, il démontre que la région a tout pour devenir une terre viticole à part entière. « La Normandie possède de très beaux terroirs. Nous prouvons chaque jour que ce défi est réalisable, même avec les spécificités locales comme le manque de luminosité ou de chaleur par rapport à d’autres régions. »
Pour l’exploitation viticole d’Edouard Capron, 3 applications de notre biostimulant foliaire Veraleaf lui ont été recommandés aux stades clés de développement de la vigne. Les résultats ont montrés une amélioration de la coloration des grappes avec une maturation plus avancée que le témoin. Cette biostimulation à également joué sur le poids des grappes et des baies :
Des baies mieux nourries et en meilleure santé vont pouvoir améliorer la maturité phénolique (équilibre entre sucres, acide et composés aromatiques). Ce qui permettra de structurer d’avantage le vin après vinification. .
L’expérience d’Édouard Capron démontre que la viticulture en Normandie est un pari audacieux, mais réaliste. En combinant choix de cépages adaptés, pratiques culturales réfléchies et innovations agronomiques, les vignerons normands parviennent à tirer parti des atouts de leur terroir atypique. Les essais menés avec le biostimulant foliaire Veraleaf montrent des bénéfices concrets sur la maturation et la qualité des baies, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour l’amélioration des rendements et du profil aromatique des vins normands.
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